Affaire Nadia Touil – Menouar Touil, condamné vendredi 31 mars 2023 pour la tentative de meurtre de son ex-compagne Nadia Touil en 2012, Nadia Touil, caissière dans un supermarché, a été violemment agressée en direction de Bobigny alors qu’elle se rendait à son travail aux petites heures du 30 décembre 2012.

La victime avait volé son agresseur après avoir été frappée à la tête avec un hache ou machette. Cet acte d’espionnage particulièrement grave n’était pourtant qu’une diversion. Les enquêteurs ont récupéré des images de caméras de surveillance d’une communauté de retraités dans le cadre de leur enquête. Ce dernier avait capté des images de rue d’un cycliste ressemblant à Menouar Touil roulant sur son vélo, haut sur le guidon.

Cette dernière personne n’est autre que l’ex-mari de la victime. Il souhaitait rester dans la maison même si le juge aux affaires familiales lui avait demandé de déménager depuis un an après son divorce. Menouar Touil, lors de son procès, aurait déclaré : “Je n’ai rien à me reprocher, j’étais chez moi, je dormais”.

C’est ce qu’a rapporté Le Parisien du 31 mars 2023. Pour avoir tenté de tuer son ex-compagne, le tribunal de Bobigny a condamné le retraité à trente ans de prison, dont vingt à l’isolement. Ce n’était cependant pas la première fois qu’il était arrêté par la loi.

“J’aurais mieux fait de me casser les deux jambes plutôt que de rencontrer Nadia Touil”, a déclaré Nadia Touil à propos de cette affaire. Lorsque l’ex-mari de Nadia Touil fut reconnu coupable du meurtre d’un compagnon travesti dont le corps démembré avait été découvert dans le bois de Vincennes, il fut condamné à vingt ans de réclusion.

Lors du procès de son ex-petite amie, la procureure Yasmine Wasylyszyn avait demandé : “Combien faut-il de victimes encore pour qu’il cesse de nuire aux personnes qui l’entourent ?” Nadia Touil avait déclaré : “J’aurais mieux fait de me casser les deux jambes que de le rencontrer.”

Bondy, banlieue parisienne, le 30 décembre 2012. Oh, l’horreur ! C’est ce que découvrent plusieurs lève-tôt dans une rue de la ville. Une femme marchant dans une mare de sang, le visage et le corps défigurés par d’énormes fractures du crâne. C’est aussi ce qu’a dû penser son agresseur.

Néanmoins, elle respire toujours. Nadia Touil devient amoureuse de la vie.

Même les enquêteurs eux-mêmes réservent d’autres surprises. En approfondissant la vie de cette mère, ils se rendent compte qu’il y a de nombreux suspects potentiels dans son voisinage immédiat. Ou cette agression vous vise-t-elle plus spécifiquement ? Si seulement Nadia pouvait se réveiller et identifier son assassin… Mais en a-t-elle la force ?

Le 1er avril 2023 à 21h05, TFX vous proposera de voir ou revoir un numéro de “Chroniques Criminelles” consacré à l’affaire Nadia Touil. Bondy, banlieue parisienne, le 30 décembre 2012. Oh, l’horreur ! C’est ce que découvrent plusieurs lève-tôt dans une rue de la ville. Une femme marchant dans une mare de sang, le visage et le corps défigurés par d’énormes fractures du crâne.

C’est aussi ce qu’a dû penser son agresseur. Néanmoins, elle respire toujours. Nadia Touil devient amoureuse de la vie. Même les enquêteurs eux-mêmes réservent d’autres surprises. En approfondissant la vie de cette mère, ils se rendent compte qu’il y a de nombreux suspects potentiels dans son voisinage immédiat. Ou cette agression vous vise-t-elle plus spécifiquement ? Si seulement Nadia pouvait se réveiller et identifier son assassin… Mais en a-t-elle la force ?

Cette affaire concerne Nadia Touil, qui a été essentiellement abandonnée et laissée pour morte. Le 30 décembre 2012, à Bondy, France. Aux petites heures du matin, des passants croisent une femme gisant dans une mare de sang, gravement blessée à la tête. L’équipe d’enquête se rend compte que le cercle d’amis proches de la victime recèle de nombreuses possibilités potentielles. The Grave Robber, ou “Le tueur du cimetière”

Affaire Nadia Touil

Cette affaire concerne Nadia Touil, qui a été essentiellement abandonnée et laissée pour morte. Le 30 décembre 2012, à Bondy, France. Aux petites heures du matin, des passants croisent une femme gisant dans une mare de sang, gravement blessée à la tête. L’équipe d’enquête se rend compte que le cercle d’amis proches de la victime recèle de nombreuses possibilités potentielles.

En bref : “Le cas de Nadia Touil : abandonnée dans la mort.” L’horreur à Bondy, en banlieue parisienne, le 30 décembre 2012 ! Tôt un matin, des passants croisent une femme qui riait dans une mare de sang au milieu de la rue. Elle est horriblement défigurée et présente de nombreuses blessures importantes à la tête.

Néanmoins, elle respire toujours. Nadia Touil devient amoureuse de la vie. Même les enquêteurs eux-mêmes réservent d’autres surprises. En approfondissant la vie de cette matriarche familiale, ils se rendent compte qu’il y a de nombreux tueurs potentiels dans son voisinage immédiat (d’où le titre “Le meurtrier du cimetière”).

Après de longs débats, des querelles byzantines sur des détails pédagogiques entre l’accusation, la défense, le procureur général Pierre Vignolles et les détails macabres fournis par les médecins légistes, la famille du maçon décédé à Moissagais a fini par fondre en larmes lorsque les deux Les tueurs ont fait leur impossible mea culpa. Avec un rictus et un regard vide, il s’est adressé à la famille Khaled Touil en disant : “Pardon, pardon, pardon… c’est un cauchemar mais c’est la réalité”.

Alors que la mère de Mohamed Belhachemi, originaire de Turquie qui a fait preuve d’une dignité hors du commun tout au long du procès, fondait en larmes, Rachid Dallier a déclaré : « C’est triste, je ne sais pas comment c’est arrivé, c’est grave, ce n’est pas normal.”

La salle d’audience est devenue silencieuse. L’accusé, qui parlait, n’a plus pu se faire entendre ; les juges, les avocats des deux parties et les visages pâles de leurs clients ramènent chacun à la nature humaine de l’affaire.

Il semblait alors peu probable que les six jurés n’aient pas été émus par la gravité de la situation et l’émotion de la famille lorsqu’ils se sont retirés dans la salle des délibérés et ont répondu aux vingt-deux questions de ce procès. Après cela, les quatre heures de plaidoiries des avocats de la défense, Jean-Louis Pujol, Nicolas Raynaud De Lage et Serge Capel, ont semblé à des années lumières (voir ci-dessous).

Vers 18h45, les jurés sortent du long conciliabule où ils s’étaient serrés autour de Corinne Chassagne, la présidente de cette cour d’assises, et avec une expression sérieuse à la hauteur de leur décision, ils énoncent la près d’une vingtaine de questions qui leur ont été posées. eux.

Rachid Dallier et Khaled Touil ont été condamnés conjointement à 30 ans de prison après avoir été reconnus coupables du meurtre de Mohamed Belhachemi, de l’enlèvement d’Axel Marin et de la tentative d’assassinat de son compatriote tunisien Samy Naas Arabat.

Une issue qui pourrait satisfaire Me Pujol et Capel, malgré leurs exigences de perpétuité et l’incapacité des jurés à trouver une préméditation dans le cas toulousain. L’Agenaise Sandra Bonnet, dont l’avocat Pierre Vignolles avait plaidé jeudi un non-lieu partiel pour le chef de complicité dans l’assassinat du maçon Moissagais, a été condamnée à dix ans de prison. Une sanction suffisamment sévère pour stupéfier son avocat, Me Raynaud De Lage, qui avait passé tout le procès à souligner l’importance de la virginité judiciaire de son client.

Me Nicolas Raynaud De Lage n’a pas épargné la famille de Sandra Bonnet ni les enquêteurs qui ont passé trois ans à apprendre les ficelles du métier avant d’ouvrir le dossier de la défense. Avant cela, le brillant avocat pénaliste toulousain avait tenté de présenter sa cliente sous un jour plus favorable en minimisant la gravité des faits qui lui sont reprochés et en qualifiant l’affaire de “mauvaise réputation”.

« Vous savez, Sandra Bonnet, ce type est le diable, l’incarnation du mal. Tout a commencé avec des enquêtes sur des célébrités menées « comme si les experts avaient le sérum de vérité ». En continuation : « Tout le monde sait que S. Bonnet n’est pas parfait ; elle est en rupture, elle couche avec tout le monde… Est-ce un délit ?

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