Ersilia Soudais Mari – Une plainte en diffamation a été déposée contre la députée Ersilia Soudais, mais l’UEJF a déjà rejeté l’affaire. Suite au procès du NUPES contre l’UEJF, elle a affirmé lors d’une conférence de Salah Hamouri avoir été victime d’une agression.
Employés chez Par Temps en Israël
Les membres de l’Union des étudiants juifs de France (UEJF) ont dénoncé une agression survenue lors d’une conférence donnée par le terroriste palestinien Salah Hamouri à l’École des hautes études en sciences sociales de Paris. Hamouri est condamné en Israël. La Solidarité française avec la Palestine et la Ligue des droits de l’homme ont organisé conjointement la conférence.
L’UEJF a dépêché des délégués pour « dénoncer cet activiste lié au groupe terroriste du FPLP » et exprimer ses inquiétudes. Ersilia Soudais, une autre politicienne française du NUPES présente à la convention, s’est également prononcée sur les agressions qu’elle a subies de la part des partisans de l’UEJF. La présence de son mari, qui, selon elle, lui a permis de s’en sortir indemne, a ensuite annoncé son intention de poursuivre l’UEJF en justice.
Pour être sûr de ne manquer aucun numéro de notre magazine d’actualité, rejoignez notre liste de diffusion dès aujourd’hui, sans frais pour vous ! L’UEJF a menacé de poursuivre Ersilia Soudais pour diffamation en réponse à ces allégations. Face aux fausses accusations portées par @FiAssemblee, qui a accusé à tort des militants de l’UEJF et leur président @SLejoyeux d’avoir attaqué @ErsiliaSoudais, nous allons lancer une action en diffamation en représailles.
Quand personne ne me terrifiera, je continuerai à me battre pour l’égalité et contre les préjugés. Je défendrai toujours ceux qui cherchent à isoler les problèmes de ceux qui souhaitent les rassembler. Ces derniers mois, les provocations anti-israéliennes d’Ersilia Soudais se sont multipliées et elle a été accusée d’avoir introduit le conflit israélo-palestinien dans les institutions françaises.
Lorsqu’elle a rencontré l’Israélien en exil Salah Hamouri à l’aéroport de Roissy en décembre dernier, elle a fait la une des journaux en qualifiant son expulsion d’Israël de “déportation orchestrée par Israël”. Les opposants à ce choix de mots et certains internautes le trouvent terrifiant.
Suite à sa nomination comme vice-présidente de la commission d’étude sur l’antisémitisme à l’Assemblée par son groupe parlementaire, elle a été accusée de caricature de la lutte contre l’antisémitisme. La présentatrice Érsilia Soudais de FIGAROVOX – Paroles d’honneur – a été critiquée pour son ton régressif lorsqu’elle évoque l’attaque du Hamas contre Israël.
Selon l’auteur, cet incident illustre le virage pratiqué par certains gauchistes. Céline Pina, militante, écrivaine et journaliste, résidait autrefois à Causeur. Elle a cofondé le mouvement politique Viv(r)e la République et est l’auteur de plusieurs livres, dont Silence coupable en 2016 et Ces biens essentiels en 2021.
La capacité de rire, selon la notion de Bergson, est un signe d’humanité. Dans les films, je pensais que le rire du démon – un mélange de sarcasme et de sourire – révélait sa terrible nature, n’est-ce pas ? Les choses s’échauffent lorsque le méchant entre et il rit comme un sadique. Même lorsque les choses sont difficiles, ce rire vous fait vous sentir mieux.
Le rire du méchant dans les films est une forme de plaisir, semblable à la façon dont le rire d’Hannah Arendt expose la banalité du mal. Imaginez une seconde un monde où les images d’éjections de chambres à gaz seraient drôles pour quelqu’un d’autre qu’un nazi.
Alors que certains d’entre nous ne supportaient même pas de regarder les images du massacre du 7 octobre en Israël provoqué par le Hamas, comment pouvez-vous croire que cet incident puisse déclencher des émeutes ? Imaginez un instant si la femme injurieuse qui a évoqué le sujet des actes barbares est une représentante de notre République, quelqu’un qui a été critiqué.
Cela dit, c’est exactement ce qu’Ersilia Soudais a réussi à réaliser. Son impulsivité et son manque de tact valent la haine de cette députée LFI. Elle est l’incarnation du cynisme de LFI ; le parlement français l’a choisie pour diriger son comité d’étude sur l’antisémitisme, par embarras et dédain. Utilisant l’antisémitisme comme excuse, la femme prend des positions antisémites.
Elle soutient le mouvement de boycott, désinvestissement et sanctions (BDS), qui prône la cessation de toute forme de soutien à Israël ; elle refuse de classer le Hamas parmi les groupes terroristes ; elle ne fait preuve d’aucune compassion pour les victimes des attentats du 7 octobre ; elle trouve répugnante la photo d’un bébé kidnappé par le Hamas affichée sur la porte de son bureau ; et elle démontre sa solidarité avec Ahed Tamimi en déclarant : « Ce qu’Hitler vous a fait n’était rien d’autre qu’un fléau ».
Métaboliser votre sang et manger vos organes fait partie de notre avenir. Ce n’est pas votre emploi typique de plaisanterie, et le 7 octobre est là pour le prouver. Il démontre une vision du monde de gauche qui n’est pas exclusive à LFI en choisissant de garder le silence face à un crime contre l’humanité ou à un pogrom.
Madame Céline, Flamand
Dans un clip vidéo où on la voit gloussée en déclarant le 7 octobre, Ersilia Soudais a révélé sa profonde haine envers les Juifs. Sans grâce, le moment de vérité est devenu viral sur les réseaux sociaux. Lors de son passage sur le web militant et dans l’émission “Paroles d’Honneur” sur Twitch, la législatrice espérait ramener sa précédente proposition de projeter le film Yallah Gaza à l’Assemblée nationale.
La diffusion était initialement prévue pour le 9 octobre, selon Ersilia Soudais. Mais “avec Charlotte (Leduc, une autre palementaire non identifiée), on avait tellement de bol que nous avions préparé notre com’ la veille et donc, forcément dans le week-end, il y a eu des fuites.”
Mariam Abbou Daqqa était membre d’une cellule terroriste palestinienne expulsée de France pour atteinte à l’ordre public ; après cela, elle rayonne de joie à l’idée de l’avoir invitée. Il démontre une vision du monde de gauche qui n’est pas exclusive à LFI en choisissant de garder le silence face à un crime contre l’humanité ou à un pogrom. Au point qu’elle ruine définitivement la réputation de l’humanité qu’elle souhaitait donner.
Dans son cœur, elle désirait perpétuer l’héritage de « plus jamais ça », la croisade incessante contre les féconds qui assureraient la libération de tous les animaux nés. Les rires d’Ersilia Soudais suggèrent que certains à gauche sont prêts à laisser entrer l’horrible aujourd’hui – soit parce qu’ils ont cessé de s’en apercevoir, soit parce qu’ils légitiment ses actes.
Personne ne vous soutient La députée de LFI, Ersilia Soudais
À l’Assemblée, l’élue se distingue par sa lutte contre l’antisémitisme, motivée par sa position controversée sur la Palestine. Pendant combien de temps? Ses collègues législateurs rougissent généralement et éclatent de rire chaque fois que son nom est évoqué lors d’une réunion législative. Mais depuis un mois, ses ajustements de position ont laissé tout le monde perplexe.
Pour Ersilia Soudais, le conflit israélo-palestinien a pris un caractère obsessionnel. Elle a flirté et même franchi les limites depuis le 7 octobre, en soutenant des militants comme Ahed Tamimi, qui avait appelé les soldats israéliens à « boire le sang » et refusé de désigner le Hamas comme groupe terroriste.
Malgré le rejet de son parti, la députée LFI de 35 ans est devenue l’égérie de la position insoumise face à la crise, diffusant publiquement de vagues discours anti-immigration tout en restant indifférente aux accusations portées contre ses collègues. Si elle a atteint un quelconque type de popularité, alors… Très bien, j’ai trouvé un…..
La députée de Seine-et-Marne face au sexisme et au racisme nébuleux Soudais, Ersilia
Le député Insoumise fait face à des accusations d’antisémitisme suite au partage d’une photo avec un militant impliqué dans le mouvement “Boycott Israël Apartheid”. Cela aggrave encore le sexisme persistant sur le lieu de travail. Élue pour représenter la 7e circonscription, la députée Ersilia Soudais revient sur sa première année à ce poste.
La représentante de la 7e circonscription, Ersilia Soudais, lutte contre un flot de haine sur Internet. Des militants appelant à un mouvement de « boycott de l’apartheid israélien » ont été aperçus sur une photo Twitter avec Ersilia Soudais au Festival de l’humanité. La rumeur selon laquelle le député de la 7e circonscription de Seine-et-Marne était antisémite s’est rapidement répandue et a été ressuscitée.
“Ce combat contre l’apartheid israélien s’inscrit dans mon combat pour les droits humains”, affirme clairement le vainqueur. Human Rights Watch, Amnesty International et B’Tselem – le Centre israélien pour les droits de l’homme dans les territoires occupés – ont tous fourni des preuves substantielles de ce qui équivaut à « l’apartheid israélien ». Tant que les organisations israéliennes de défense des droits de l’homme n’auront pas peur d’utiliser cette expression, il n’y aura pas d’antisémitisme.
L’homme politique note que la définition de « l’apartheid » a évolué au fil des années. Ils ont réussi à le définir d’une manière qui dépasse le contexte sud-africain en droit international. C’est dans le Statut de Rome de la Cour pénale internationale que le « crime d’apartheid » a été défini de manière précise et complète. Mais la question sud-africaine reste dans les esprits : “c’est forcément très violent et difficile à admettre”.
“Protéger les droits de l’homme”
Beaucoup ont exprimé leur désapprobation à l’égard de sa position et du fait qu’elle soit vice-présidente du groupe d’étude sur l’antisémitisme de l’Assemblée nationale française. “La défense des droits humains, donc ce n’est absolument pas contradictoire”, explique Ersilia Soudais dans chaque situation.
De même, en tant que co-présidente de la recherche « Gènes du voyage », elle est profondément engagée dans la notion de « lutte contre l’antisémitisme ». À l’écart, je me consacre à la délégation des droits des femmes. Une bataille religieuse devrait émerger de la lutte anticoloniale. Les Juifs n’ont pas attaqué les Musulmans. Au départ, rien n’est visible. Ce que nous dénonçons est toujours la politique d’un État.
ncG1vNJzZmiblaGyo77Em6Oon16bv3Cx0aygpaGRYsCwwcOaoKxlnZa%2Fqns%3D