Jacques Hyver Âge – Directeur d’un fabricant de tuiles et vice-président du Conseil national du patronat français, Michel Maury-Laribière a été enlevé le 28 juin 1980 en Charente. Le SRPJ de Bordeaux est dirigé par le commissaire Bardon, qui prend en main la situation.

Quatre mois plus tard, Jacques Hyver, alors âgé de 29 ans, est placé en garde à vue. Pendant ce temps, il était responsable de la mort de la direction d’une boîte de nuit. Hyver, qui purge une peine de 12 ans pour tentative d’enlèvement d’un banquier suisse, s’est déjà évadé deux fois de prison.

À la fin de la peine du criminel en 2005, il a été libéré. Le premier vice-président du Conseil national du patronat français (CNPF) ne s’est pas présenté au travail dans son usine de Charente, en France, le 28 juin 1980. Sur la liste croissante des cadres kidnappés, il prend désormais sa place.

Dans la soirée du 28 juin 1980, Michel Maury-Laribière roulait dans sa CX marron. La campagne charentaise commence à sortir de sa torpeur. Tout aujourd’hui semble parfait. Le propriétaire parcourt régulièrement la D 59 le samedi matin entre Confolens et Roumazières, où il exploite son usine de Tuilerie briqueterie française (TBF).

Il aime se promener le long de la Vienne et réfléchir à la vie dans son ensemble. Il utilise également ce temps pour envoyer des messages par mémo vocal. Il est vice-président du CNPF, l’entreprise pour laquelle il travaille, et il partage son temps entre Paris la semaine et la Charente le week-end.

Le CX marron du chef de service a été laissé à l’abandon sur le bord de la route avec un seul mot écrit sur le siège: il a été rapporté que Michel Maury-Laribière a été fait prisonnier. Evitez de le signaler aux autorités. demande une rançon de 3 millions de francs suisses des instructions détaillées sont à venir.

Jacques Hyver Âge

Le fils du vice-président du CNPF, Jean-Luc, est arrivé le premier sur les lieux de l’enlèvement le 28 juin 1980. Chaque samedi matin, les deux hommes vous rencontraient aux Roumazières, France, siège de leur société, TBF (Tilerie briqueterie française ), pour discuter affaires.

Jean-Luc avait décidé d’aller à Confolens, où habitait son père, car il avait un mauvais pressentiment à l’idée d’y aller. Jusqu’à ce qu’il puisse localiser son véhicule. “Dès le début de cette situation, mon plan était clair: il n’était pas question de céder aux exigences des ravisseurs”, affirme encore.

Aujourd’hui l’homme aux yeux brillants et au costume immaculé sa maison, idéalement située à proximité de l’usine, servit rapidement de quartier général. Ils surveillent de près les ravisseurs avec l’aide de Claude Bardon, le patron de la PJ de Bordeaux pendant ce temps, Manuel, l’un des.

Légendaires frères Maury-Laribière, s’occupe des communications avec les journalistes basés dans toute la France. Jean-Louis Née, ancien reporter de Charente Libre, raconte: massés devant le portail de cette grande demeure familiale bourgeoise de Confolens, nous assistions aux deux.

Conférences de presse quotidiennes, fixées à des heures prédéterminées bien sûr, la famille a dû le nier pour brouiller les pistes. L’un d’eux s’est rapidement fait connaître en multipliant les appels passés aux proches et aux carreleurs de TBF. Jacques Hyver est le nom correct pour lui.

C’est un jeune criminel de 31 ans qui a été reconnu coupable de trois chefs de vol, fraude et chèque sans provision. En transportant un sac de faux billets dans son coffre à ses différents rendez-vous, Jean-Luc feint de se conformer tout en étant surveillé par la police via un émetteur alors qu’il se déplace entre les points de contrôle.

Bien que de nombreuses tentatives très suspectes soient faites pour appréhender le ravisseur, aucune d’entre elles n’aboutit. Le jour viendra où Jean-Luc, lassé du jeu du chat et de la souris, jouera une autre carte en lui adressant un message sévère: il ne bougera pas tant qu’il n’aura pas.

Reçu la confirmation de la vie de son père le plan semble fonctionner. Il reçoit un appel de l’intérieur d’une cabine et ils ont une conversation de dix minutes. L’appel a été localisé dans une région reculée du Périgord. Il y a de plus en plus de preuves à l’appui de l’affaire.

Faire venir l’accusé diffusera son émission sur l’affaire Jacques Hyver ce dimanche 25 décembre prochain. Michel Maury-Laribière quitte son domicile de Confolens (Charente) le 28 juin 1980, vers 8 heures du matin, pour se rendre à son usine pour une rencontre cruciale avec son fils Jean-Luc.

Après avoir parcouru environ six kilomètres, il tombe sur un gendarme qui lui fait signe de s’arrêter. Quand Jean-Luc ne voit pas son papa s’arrêter, il suppose qu’il a dû avoir un accident et repart avec sa voiture en sens inverse. Après avoir marché un moment, il aperçoit la voiture de son père garée sur la route.

C’est avec beaucoup d’appréhension que je me suis dirigé vers la voiture. Les meilleurs flics du pont, dont Charles Pellegrini et Robert Broussard, ont tenté d’inciter Jacques Hyver à les rencontrer à nouveau dans les toilettes des hommes d’un café de l’avenue de la Grande-Arm à Paris.

Ensuite, ils se sont rencontrés dans le parking George-parking. Me revoilà, gilet pare-balles et sac d’argent en remorque, soi-disant seul, mais avec des hommes armés cachés partout, ajoute Jean-Luc. Quand tout à coup, il aperçoit une ardoise avec la mention “Maury-Laribière libérée”, apposée sur un kiosque à journaux.

Le propriétaire du magasin, qui avait entendu la nouvelle à la radio, a aussitôt passé le mot. Car entre-temps côté Dordogne, l’enquête a avancé grâce à un témoignage crucial: le propriétaire d’un gîte, niché dans un hameau reculé de Saint-Orse, troublé par les allers-retours suspects de ses hôtes et par les volets définitivement fermés, a partagé ses questions avec son voisin, Narcisse Martin, un policier à la retraite après cela, il a rapidement appelé les autorités, qui.

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